• Nous nous retrouvons aujourd'hui dans ce parc montois qui attirent des sportifs, des lecteurs, des gens qui ont besoin d'un peu de calme et de nature...

    Aujourd'hui, ce sera histoire sans paroles. 

    Je vais vous laisser admirer les reflets dans l'eau. 

    Waux-Hall (3)

    Waux-Hall (3)

    Waux-Hall (3)

    Les lentilles tapissant une grande partie de l'eau, les reflets sont plutôt rares ! 

    La fois prochaine, je vous parlerai des sculptures disséminées çà et là dans le parc. 


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  • Nous nous retrouvons dans le parc du Waux-Hall de Mons, le point vert le plus proche de chez moi. 

    Aujourd'hui, nous allons nous intéresser aux arbres. 

    Waux-Hall (2)

    Le noyer noir ou noyer d'Amérique est un arbre qui a été introduit chez nous. Il peut atteindre 30m de haut. C'est son écorce foncée qui lui a valu le nom de noyer noir. Les fruits sont des drupes contenant des noix à coque rugueuse très dure. 

    Admirez sa ramure ! 

    Waux-Hall (2)

     

    Waux-Hall (2)

    Le séquoia est un conifère qui fait partie des arbres les plus grands du monde en volume. 

    Waux-Hall (2)

    Pas très photogénique...

    Waux-Hall (2)

    Il en a fabriqué des branches ! 

    Waux-Hall (2)

    Cet arbre, dévoré par les champignons, ne vivra plus longtemps ! 

    Waux-Hall (2)

    Le cyprès chauve est un grand conifère au port pyramidal, caduc, de sols détrempés à frais, originaire du S-E des Etats-Unis. On le dit chauve parce qu'il perd son feuillage en hiver. 

    Waux-Hall (2)

     

    Pour éviter l'asphyxie, le cyprès forment des racines aériennes particulières : les pneumatophores. Ces organes lignifiés, qui peuvent atteindre 1,7m de haut, émergent du sol ou de l'eau autour du tronc. Ils assurent la fourniture en dioxygène du système racinaire immergé et permettent une meilleure stabilisation et un meilleur ancrage de l'arbre dans le sol très souvent imbibé d'eau. 

     

    Waux-Hall (2)

    J'admire la ramure de certains arbres. 

    Waux-Hall (2)

    Waux-Hall (2)

    L'araucaria ou désespoir des singes est un conifère originaire de la Cordillère des Andes. 

    Des restes fossilisés indiquent qu'ils étaient déjà abondants dans l'hémisphère sud, au Mésozoïque. 

    Waux-Hall (2)

    Jamais je ne planterai cet arbre dont le tronc est hérissé d'épines dans mon jardin. 

    Il y a bien d'autres arbres remarquables dans le parc. Certains sont plutôt à voir au printemps. 

    On se retrouve dans le Waux-Hall très vite. 

     

     


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  • 3e dimanche ensoleillé d'octobre, même s'il fait plus frais, je décide de suivre une visite guidée portant sur les arbres et les sculptures du Waux-Hall, le "poumon vert" de Mons (un parc qui doit d'ailleurs être restauré).

    Le Waux-Hall (1)

    Le parc du Waux-Hall fut aménagé au XIXe siècle à l'initiative de la Société du Waux-Hall créée à cet effet par des membres de la bourgeoisie montoise. 

    Il s'agit donc, à l'origine, d'un parc privé. Il est situé à l'emplacement du fort dit "des Hollandais" qui formait un ouvrage avancé de la dernière fortification. 

    Des restes du fort subsistent encore sous le pavillon actuel. 

    Le Waux-Hall (1)

    Les jardins ont été dessinés par Louis Fuchs (connu par les amateurs de fuchsias) et le pavillon central fut construit par l'architecte Joseph Hubert en style guinguette. 

    Ce vaste parc de 5 ha constitue un des poumons de la ville et servit, dès le XIXe siècle, de parc de détente, agrémenté d'étangs, d'allées pittoresques et de grandes pelouses. 

    Le Waux-Hall (1)

    Divers monuments commémoratifs et de sculptures en plein air y sont placés. 

    Le Waux-Hall (1)

    Propriété de la ville de Mons depuis 1892, il accueille une remarquable collection végétale et des massifs d'arbres séculaires. 

    Le Waux-Hall (1)

     

    Les ifs préparent leurs guirlandes pour Noël. 

    Le Waux-Hall (1)

    Le Waux-Hall (1)

     

    Les étangs sont recouverts de lentilles vertes. Bon ou pas? Je pense que ça empêche les rayons du soleil d'atteindre les plantes et les animaux aquatiques... Qu'en pensez-vous? 

    Le Waux-Hall (1)

    Le Waux-Hall (1)

    Le Waux-Hall (1)

     

    Au loin, j'ai aperçu un héron...

    Le Waux-Hall (1)

     

    J'essaye de l'approcher...

    Le Waux-Hall (1)

     

    Il m'a vu et prend son envol ! Zut ! 

    Le Waux-Hall (1)

    Le Waux-Hall (1)

    Le Waux-Hall (1)

    On s'y retrouve dans quelques jours pour regarder les arbres de plus près. 

    A très vite. 

     

     

     

     


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  • L'ombre d'une racine de François Degrande

    Une fois encore, je remercie les éditions M.E.O pour l'envoi de ce nouveau roman.

    Il s'agit du premier roman de François Degrande, poète, musicien, auteur-compositeur-interprète et enseignant ! 

    L'histoire se passe en Espagne, sur la côte de Galice où l'ombre de Franco plane encore. L'auteur fait notamment référence aux vols d'enfants qui ont eu lieu lors du règne du dictateur. 

    Le héros est Santos, marié à Lucia, une thérapeute pour enfants. Il enseigne la littérature classique à l'université et là, c'est l'ombre de Cervantès qui plane sur le récit. 

    L'histoire se déroule entre 2002 et 2005. 

    En 2002, Santos se trouve sur une plage en train de nettoyer les dégâts causés par un pétrolier. 

    En 2005, on le retrouve en prison. 

    Mais que s'est-il passé pour que ce professeur, amoureux de la littérature et de sa femme, se retrouve emprisonné?

    Il raconte son histoire à son avocat, de son enfance au jour où il a été arrêté...

    Sur la plage, il a trouvé un nourrisson et un chien. Il les a emmenés tous les deux avec l'intention de les rendre aux autorités. Toutefois, il n 'est pas en très bon terme avec la Guardia Civil. 

    Dans un premier temps, il emmène le petit (et l'animal) chez lui où il constate que sa femme a disparu. 

    Le couple rêvait d'un enfant. N'est-ce pas là un cadeau du ciel? Un cadeau qui va finalement virer en cauchemar...

    2005 : Santos se raconte donc à son défenseur, mais le professeur n'est-il pas un rien mythomane et menteur? L'avocat peut-il croire la version de son client? La police, elle, n'en croit pas un mot...

     


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  • Nous nous dirigeons maintenant vers le jardin des découvertes. Il faut revenir sur ses pas, descendre vers la rivière et passer sous la route...

    Lac de Bambois (4)

     

    Un petit sentier boisé nous mène dans le jardin. 

    Lac de Bambois (4)

     

    Un musée bâti dans un superbe cadre nous attend au bout du chemin. C'est la maison de la pêche, vieille maison typique du classique jardin anglais. Cette maison devenue musée abrite deux expositions permanentes : l'une sur l'histoire du site et l'autre sur notre rapport à l'eau. 

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Le jardin de la découverte est divisé en 6 jardins : le jardin de la vieille maison, le jardin des senteurs, le jardin des parapluies, le jardin de l'enfant, le jardin des animaux et le petit vivier. 

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Une petite construction en pierre montre aux visiteurs quelques plantes qui résistent à la sécheresse. 

    Lac de Bambois (4)

    Ensuite, il n'y a plus qu'à suivre les petits chemins tracés dans le jardin. 

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Tritons, grenouilles et crapauds doivent adorer la mare. 

    Lac de Bambois (4)

     

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Peu de traces de l'automne dans ce jardin. L'hydrangea est en fin de floraison. 

    Lac de Bambois (4)

    Très belle réalisation ! 

    Lac de Bambois (4)

    Ces parapluies donnent une touche de couleurs au jardin. J'aime ! 

    Lac de Bambois (4)

    Seule la vigne-vierge nous annonce l'automne ! 

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    On arrive ensuite dans un endroit très important, mais pas photogénique ! 

    Lac de Bambois (4)

    Des maquettes d'animaux et de plantes ont été mises en cage ! Ce sont des animaux et des plantes nocifs, invasifs, qui nous viennent de l'étranger et qui détruisent la faune et la flore locales. 

    On y retrouve, par exemple, le frelon, le blaireau qui n'a pas de prédateurs, la grande berce qui brule la peau, la cardamine ou encore la renouée du Japon qui étouffe les plantes indigènes, la coccinelle asiatique qui supplante la nôtre, la tortue si mignonne dans son aquarium, mais si vorace dans les étangs,...

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    Lac de Bambois (4)

    J'ai passé la partie réservée aux enfants : je n'ai plus vraiment l'âge...

    A l'instar de la vigne-vierge, le summac de Virginie annonce que l'automne n'est plus loin...

    Lac de Bambois (4)

    Ainsi se termine la visite au lac de Bambois. Finalement, le lac, on ne le voit pas beaucoup, mais j'ai aimé ces jardins bien entretenus. 

    Un dernier (?) dimanche de balade? 

    Ben non, car le dimanche suivant était aussi ensoleillé, plus frais, mais tellement agréable que j'ai suivi une visite guidée dans le plus grand parc de Mons. Je vous montre ça prochainement. 

    Bon weekend à tous. 

     


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