• Nous voici au seuil d'une nouvelle année qui, ne nous leurrons pas, ne sera pas meilleure que les précédentes si on tient compte de l'actualité. 

    J'espère, qu'au point de vue personnel, tout se passera bien pour vous comme pour moi. 

    J'ai lu que le bonheur, c'est l'absence de malheurs. Alors, je vous souhaite une année heureuse. 

    Bonne année


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  • C'est de la place de mon village que je vous souhaite un joyeux Noël et une bonne fin d'année. 

     

    Ne rêvons pas trop : il n'y aura pas de trêve de Noël ! Drôle de période. 


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  • En général, je n'aime pas trop les humoristes. Je trouve qu'ils exagèrent vraiment trop aussi bien dans leurs propos que dans leur façon de présenter leurs sketches. François Pirette arrive parfois à me faire rire, mais je n'aime pas tout non plus. 

    Une amie m'a envoyé un sketch d'un humoriste belge : Stefan Cuvelier. Né en 1972, il est aussi comédien et auteur. 

    En 1996, il a débarqué à Paris et a proposé quelques-uns de ses textes sur des scènes ouvertes. C'est le début de sa carrière. 

    Celui que je vais vous présenter n'aurait pas fait rire il y a deux ans, mais, après coup, je pense qu'on peut en rire. A vous de juger. 

    Dites-moi ce que vous en pensez... 


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  • Le fait est devenu assez rare pour être souligné : il a bien gelé la semaine dernière (jusqu'à -8° chez moi), ce n'était plus arrivé depuis un bon bout de temps. 

    Avec l'humidité, le jardin a changé de décor. 

    Mon jardin sous le givre

     

    Mon jardin sous le givre

    D'habitude, je taille mes hortensias avant l'hiver (je n'aime pas les fleurs fanées). Cette année, je n'ai pas eu le temps de le faire et monsieur le givre en a profité pour se déposer sur les pétales. 

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

    Le tapis de lierre craquait sous mes pas comme du cristal ! 

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

    J'espère que les bourgeons étaient bien au chaud dans leur couette ! 

    Mon jardin sous le givre

    Même les feuilles mortes avaient décidé de se parer de poudre blanche. 

    Mon jardin sous le givre

    Les fougères ont bravement affronté le froid. 

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

     

    Mon jardin sous le givre

    J'adore le sedum quand le givre le recouvre. Une œuvre d'art ! 

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

    Des bonbons glacés pour les oiseaux. 

    Mon jardin sous le givre

    Certains rosiers comptaient encore m'offrir quelques fleurs avant de se reposer, mais c'était sans compte sur ce brusque changement de température. 

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

    Monsieur le Givre s'est amusé avec toutes les plantes. 

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

     

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre

     

    La bruyère qui commençait à fleurir a également revêtu ses habits blancs. 

    Mon jardin sous le givre

    Un matin, le tamari de ma voisine resplendissait sous le soleil. Images volées. 

    Mon jardin sous le givre

     

    Une semaine plus tôt, la neige avait déposé des petits chapeaux sur les arbres. 

    Mon jardin sous le givre

     

    Quand je pense à la neige qui faisait ma joie dans mon enfance ! Les enfants, aujourd'hui, doivent se contenter de quelques flocons ou partir vers d'autres altitudes. 

    Mon jardin sous le givre

     

    Voilà, j'avais envie d'immortaliser et de partager avec vous ce phénomène qui ne survient plus que rarement chez nous. 

    Bonne fin d'année à tous et bonne fête de Noël. 

    Mon jardin sous le givre

    Mon jardin sous le givre


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  • Tout d'abord, je remercie les éditions M.E.O pour ce nouveau partenariat. 

    Isabelle Bielecki, de père russe et de mère polonaise, vit en Belgique et a obtenu la nationalité belge en 1963.

    "Les mots de Russie" est une réédition. Ce premier volume d'une trilogie n'était plus disponible en librairie. 

    Les mots de Russie par Bielecki

    Obsédée par l'écriture, l'auteure hésitera longtemps avant d'écrire cette autofiction qui obtiendra le prix littéraire des amis des bibliothèques de Bruxelles en 2007.

    Les étapes de la vie de l'auteure détermineront les thèmes qu'elle abordera dans ses écrits. 

    Je dois dire que j'ai eu du mal à entrer dans ce récit qui me semblait un peu décousu. Finalement, tous les pièces du puzzle s'assemble pour former un récit assez poignant. 

    Le père de l'héroïne (qui porte un autre prénom que l'auteure) est un communiste russe qui a été enfermé dans des camps de concentration durant la guerre. 

    La mère est une paysanne polonaise qui a été déportée en Allemagne. 

    Ces événements marquant leur vie à tout jamais les a tellement perturbés qu'on peut se demander lequel des deux est le plus fou. 

    La gamine portera le drame de ses parents tout le long de son enfance.

    La mère n'a jamais aimé Elisabeth, l'héroïne de l'histoire. Elle l'a toujours maltraitée, battue souvent, traitée de folle, d'incapable ou d'anormale. Elle parle souvent en mal de sa fille, devant elle. Les disputes sont fréquentes entre le père et la mère. 

    Le père a toujours soutenu sa gamine face à la violence de sa femme, mais n'a eu qu'une obsession : que sa fille raconte son histoire, que les gens sachent ce qu'il s'est réellement passé pendant la guerre, dans les camps de concentration où il a vécu tant bien que mal. Il veut aussi que les gens sachent comment sa femme a traité leur fille unique. 

    La gamine, là-dedans, ne sait pas toujours où elle se situe, qui dit la vérité et qui ment ! 

    Ce livre m'a parfois fait penser au roman "En attendant Bojangles d'Olivier Bourdeaut. 

    J'ai eu du mal à suivre les dialogues car l'auteure n'indique jamais qui parle. Au lecteur de le deviner...

    Un livre qui ne laisse pas indifférent...

     

    Les mots de Russie d'Isabelle Bielecki


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